Angie, sa dounia, son din, et ses soeurs mortelles

les droits de la fille sur son père

Bismillah r rahmani r rahim

 

je transfère

 

 

Les droits de la fille sur son père

Désirer un enfant est un des objectifs les plus importants du mariage, car en cela réside la pérennité de l'espèce humaine, et le    Prophète صلى الله عليه وسلم y a encouragé ses compagnons en disant :

 

« Epousez la femme affectueuse et féconde...»

 

Certains pères pensent que la responsabilité de l’éducation de l'enfant ne pèse que sur la mère, et    qu'on ne lui demande que de subvenir aux besoins matériels de ses enfants et de son épouse.

 

On peut les voir ainsi passer la majeure partie de leur temps en dehors du foyer, au    travail, à la mosquée, à la bibliothèque ou avec leurs amis.

 

Et ils ne rentrent que pour manger ou se reposer, sans même interroger sur l’état de leur famille,    leur santé ou s'enquérir de leur comportement, ne s'asseyant avec leurs enfants que pour les grandes occasions.

 

Le comportement des parents peut avoir de mauvaises conséquences    sur les enfants, ceci en raison de leur ignorance et de leur éloignement du Livre de leur Seigneur et de la Sunna de leur Prophète صلى الله عليه وسلم.

 

Et le Messager d’Allah صلى الله عليه وسلم a dit :

 

« Vous êtes tous des bergers et vous êtes responsables de vos troupeaux. Le gouverneur    est un berger et est responsable de son troupeau.

L'homme est un berger dans sa famille et est responsable de son    troupeau.

La femme est une bergère dans la maison de son mari et est responsable de son troupeau.    Le servant est un berger qui a pour charge les biens de son maître et il est responsable de son troupeau.

Ainsi chacun d’entre vous est berger et est responsable de son troupeau.    »

(Al Bukhari et Muslim)

 

Il صلى الله عليه وسلم dit aussi :

 

« La personne à qui Allah confie une responsabilité, puis ne s'en charge pas de manière consciencieuse, ne sentira pas l'odeur du Paradis. »

 

Que les pères craignent Allah concernant leurs fils et filles dont Allah leur a confié la charge.

 

Allah a accordé aux garçons et filles des droits qui sont, soit généraux soit spécifiques à l'un des deux, et si Allah le    veut, nous en citerons ce qu'Allah nous permettra.

 

Et c'est Allah qui accorde le succès.

 

Ne pas être mécontent lorsqu'on annonce la naissance d'une fille

 

Allah dit (traduction rapprochée) :

 

"A Allah appartient la royauté des cieux et de la terre. Il crée ce qu'Il veut. Il fait don de    filles à qui Il veut, et don de garçons à qui Il veut, ou bien Il donne à la fois garçons et filles, et Il rend stérile qui Il veut. Il est certes Omniscient et Omnipotent" sourate    As-Shûrâ verset 49-50

 

L'imam Ibn Al-Qayyim رحمه الله a dit :

 

"Allah a divisé les couples en quatre catégories comprenant l'ensemble des êtres    vivants.

Il a montré que ce qu'Il leur avait prédestiné est un don qu'Il leur fait et être    mécontent du don qu'Allah fait au serviteur est un caractère suffisamment détestable"

 

Allah dit (traduction rapprochée) :

 

"Lorsqu'on annonce à l'un d'eux la naissance de ce qu'il attribue au Tout Miséricordieux, son    visage s'assombrit et une rage profonde l'envahit " sourate Az-Zukhruf verset 17

 

Enterrer les filles vivantes est un grand péché

 

Allah dit (traduction rapprochée) :

 

"Lorsque l'on demandera à la fillette enterrée vivante pour quel péché elle a été tuée"    sourate At-Takwîr verset 8-9

 

L'imam An-Nawawi dit dans l'explication de Sahih Muslim :

 

"Enterrer les filles vivantes fait partie des péchés capitaux, car c'est un meurtre    injuste et c'est aussi une rupture des liens de parenté.

Le Prophète صلى الله عليه    وسلم n'a cité que l'enterrement des filles car c'est essentiellement ce que faisaient les gens de l'époque préislamique"

(sharh muslim (4/308))

 

Le mérite d'élever des filles

 

Anas رضي الله عنه rapporte que le Messager d'Allah,صلى الله عليه وسلم, a dit :

 

"Celui qui élève deux filles jusqu'à la puberté, sera aussi proche de moi au Jour de la    Résurrection que le sont ces deux-là"

Et il joignit deux de ses doigts

(muslim)

 

Aicha رضي الله عنها rapporte :

"Une femme et ses deux filles sont venues mendier chez moi, et je n'avais qu'une datte à    leur donner.

Je lui ai donc donnée cette datte qu'elle a partagée entre ses deux filles sans en    manger, puis elle s'est levée et s'en est allée.

Le Prophèteصلى الله عليه وسلم, est alors entré et je l'ai informé de cet évènement.

Il صلى الله عليه    وسلم dit : "Celui qui est éprouvé par des filles et qui est bienfaisant envers elles, elles seront pour lui une protection contre    l'Enfer"

(al bukhari et muslim)

 

A la naissance frotter le palais avec du suc de dattes et donner un    nom

 

Anas رضي الله عنه rapporte    :

 

"le fils d'Abu Talhah était malade et il mourut alors qu'Abu Talhah était de    sortie.

Lorsqu'il revint, il demanda: Comment va l'enfant?"

Umm Sulaym répondit: Il est plus calme que jamais".

Elle lui apporta son dîner, et après avoir mangé ils eurent un rapport intime.    Lorsqu'ils eurent fini, elle dit : "L'enfant est décédé et doit être enterré".

Au matin, Abou Talhah se rendit chez le Prophète et l'informa des évènements, il dit :    "Avez-vous eu un rapport cette nuit ?"

Il répondit: "oui".

Il dit : "O Allah bénit ce rapport".

Et effectivement, un enfant naquit et Abou Talhah me dit : "Apporte le au    Prophète".

Celui-ci dit: "Avez vous apporté quelque chose avec lui?".

Ils répondirent: "oui des dattes".

Le Prophète صلى    الله عليه وسلم les prit, les mâcha puis il en sorti un peu de sa bouche et en frotta le palais de l'enfant, et    il le nomma Abd Allah.

(al bukhari et muslim)

 

Donner un prénom à l'enfant 

 

Ibn Al Qayyim رحمه الله a dit :

 

"La plupart des gens infâmes ont un nom qui leur correspond, et la plupart des gens    nobles ont un nom qui leur correspond.

Fais donc preuve de bonté -ô musulman- envers ton enfant, toi-même et ta communauté, en    choisissant le meilleur nom qui soit, tant dans le fond que dans la forme."

 

La recommandation du sacrifice à l'occasion d'une naissance

 

Abd Allah ibn Amr rapporte qu'on a interrogé le Prophète صلى الله عليه    وسلم à propos de la 'Aqiqah (le susdit sacrifice), et il dit :

 

"Allah n'aime pas la rupture ('uquq)",comme s'il n'avait pas apprécié le mot    'Aqiqah.

Il dit: "O Messager d'Allah, nous t'interrogeons sur ce que doit faire celui d'entre    nous qui a un enfant".

Il dit:" Que celui qui veut sacrifier une bête pour son enfant le fasse: deux agneaux    semblables pour un garçon et un seul agneau pour une fille"

( An-Nasa'i, hadith hassan)

 

An Nawawi رحمه الله a    dit : "la 'Aqiqah est une Sunna, cela n'est pas obligatoire"

 

Al Hassan ibn Samurah rapporte que le Prophète  صلى الله عليه وسلم a dit    :

 

" l'enfant est lié au sacrifice que l'on fait pour lui le 7e jour pendant lequel on le    nomme et on lui rase la tête..."

(at-tirmidhi (4/101),hadith est sahih

 

Le sens de "lié (murtahin) au sacrifice" est qu'il ne pourra intercéder pour    ses parents (tant que le sacrifice n'est pas accompli), et linguistiquement Rahn désigne le gage.

 

Allah dit (traduction rapprochée) :

 

"Toute âme est otage (rahinah) de ce qu'elle a accompli" (sourate al-muddaththir verset    38).

 

Le sens du hadith est que l'enfant est un otage en soi, et qu'il est privé d'un bien qui pourtant devrait lui revenir, ce    qui ne veut pas dire qu'il sera châtié pour cela, même si on l'a empêché d'atteindre ce bien, du fait du délaissement du sacrifice par ses parents.

 

L'enfant peut manquer un bien par la négligence de ses parents, même si ce n'est pas de son fait, de la même façon que si    son père prononce le nom d'Allah lors du rapport sexuel, le diable ne causera aucun tort à son enfant, et s'il délaisse la prononciation du nom d'Allah, l'enfant ne bénéficiera pas de cette    protection

 

(ceci est le sens de la parole de l'imam Ahmad rapportée dans Zad Al-Ma'ad (2/325)

 

L'obligation de pourvoir aux besoins des filles

 

Al Bukhari رحمه الله a intitulé un chapitre de son Sahih : "L'obligation de pourvoir aux besoins de la famille et des enfants".

 

Et il a rapporté le hadith d'Abou Hurayrah qui dit :

 

"le Prophète صلى الله عليه    وسلم a dit : La meilleure des aumônes est la richesse (que tu laisses à ta famille).

La main qui donne est meilleure que la main qui reçoit. Commence par ceux qui sont à ta    charge"

 

Le mérite de cette prise en charge

 

Bien qu'elle soit obligatoire, elle reste une des meilleurs aumônes pour celui qui en espère la récompense auprès    d'Allah.

 

Thawbân rapporte que le Messager d'Allah صلى الله عليه    وسلم a dit :

 

« Le meilleur dinar que l'homme puisse    dépenser est celui par lequel il pourvoit aux besoins de sa famille, celui par lequel il entretient sa monture sur le sentier d'Allah, et celui par lequel il dépense pour ses compagnons sur    le sentier d'Allah. »

 

Abû Qilâbah a dit :

 

« Le prophète صلى الله عليه    وسلم a donc commencé par la famille.»

Il dit ensuite : « Quel homme mérite meilleure récompense que celui qui dépense [de ses    biens] pour ses enfants en bas-âge afin de les préserver, pour qu’Allah leur permette de tirer profit de leur père et de les enrichir par sa cause ? »

(Muslim)

 

Remarque :

 

Malgré tout, il convient de faire preuve de modération à ce    sujet, comme Allah dit (traduction rapprochée) :

 

"Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi qu'au pauvre et au voyageur dans    le besoin. Et ne gaspille pas indûment, car les gaspilleurs sont les frères des diables et le diable est très ingrat envers son Seigneur." (sourate Al-Isra' verset 26-27)

 

Ainsi, le père doit être avisé concernant ce qu'il donne à ses enfants en fonction de leurs besoins.

 

Il ne doit pas exagérer de sorte qu'ils s'enflent d'orgueil face à leurs amis et frères, fassent montre de suffisance en    semant la corruption sur terre.

 

Il ne doit pas non plus les priver au point qu'ils se sentent    humiliés en compagnie de leurs amis, enviant ce qu'ils possèdent.

 

Il doit prendre en considération le comportement de son enfant avant de décider de la somme à lui donner.

 

Ainsi, l'enfant qui dépense sur le sentier d'Allah en donnant aux    pauvres et aux indigents se verra remettre une somme plus importante [que ses autres frères] et c'est Allah qui accorde le succès.

 

La recommandations d'embrasser et de jouer avec ses filles

 

A'ishah رضي الله عنها rapporte qu'un groupe de bédouins est venu voir le Prophète صلى الله عليه وسلم et lui ont dit :

"Embrassez-vous vos enfants ?"

Il dit : "Oui."

Ils répondirent : « Mais nous n'embrassons pas les nôtres. »

- Alors, reprit le Prophète صلى الله عليه    وسلم : « Et que pourrais-je faire si Allah a enlevée la miséricorde de vos cœurs ? » 

(al bukhari)

 

Remarque :

 

Il convient de jouer et d'embrasser sa fille d’une manière qui sied à son âge, et il ne faut pas se laisser aller comme le    font ceux qui ont une maladie dans le cœur et sont tentés par leur fille ou une proche.

 

Ils plaisantent ainsi et s’amusent avec elles de manière    inconvenable en regardant leurs atours, justifiant leurs agissements en affirmant qu’elles ne sont que leurs filles ou qu’elles leur sont de toute manière interdites au mariage.

 

Combien d'hommes ont été tentés par leurs filles au point de les suivre jusque dans leur chambre, et le secours est auprès d’Allah.

 

Il faut donc faire tes attention à ne pas suivre les pas du Diable.

 

Et c’est Allah qui accorde le succès.

 

L'équité entre les enfants

 

An-Nu'mân ibn Bashîr رضي الله عنه rapporte :

 

« Mon père m'a donné une partie de ses    biens.

Ma mère 'Umrah bint Rawâhah dit alors: « ]e n'accepterais pas cela à moins que tu ne    prennes le Messager d'Allah à témoin. »

Mon père partit donc voir le Prophète pour le prendre à témoin de son aumône, le    Prophète صلى الله عليه وسلم lui dit : "As-tu fait cela pour tous tes enfants ? »

Il répondit: « Non? »

Il dit: "Crains Allah et sois équitable envers tes enfants. »

Mon père est donc revenu et a repris cette aumône.»

(al bukhari et muslim)

 

L'imam An-Nawawî رحمه الله a dit :

 

« Ce hadith montre qu'il convient d'être équitable dans les dons que l'on peut faire à    ses enfants, et de donner à chacun la même chose, sans en avantager un, que ce soit un garçon ou une fille. »

(sharh muslim (11/69) )

 

Il ne faut pas privilégier les garçons par rapport aux filles comme le font certains ignorants qui donnent    pour preuve la Parole d'Allah (traduction rapprochée) :

 

"Au fils revient une part équivalente à celle de deux filles" (sourate An-Nisa verset    11)

 

Car cela est spécifique à l'héritage.

 

Et c'est Allah qui accorde le succès.

 

Instruire et éduquer la fille

 

La fille a besoin d'être instruite dans sa religion afin de grandir et devenir ainsi une femme pieuse qui tirera profit de    sa propre science, mais sera aussi profitable pour ses parents, son mari et ses enfants.

 

Si elle est une femme pieuse, elle leur évitera les troubles et les tentations, elle sera obéissante envers ses parents, leur donnera leurs droits, obéira à son mari et engendrera une descendance pieuse si Allah le veut.

 

Et l’instruction religieuse est un droit que la fille a sur toi, ô toi le père !

 

Allah dit (traduction rapprochée) :

 

" O vous les croyants ! Préservez vos personnes et vos familles d’un Feu dont le combustible sera    les l'hommes et les pierres, surveillé par des Anges rudes, durs, ne désobéissant jamais à Allah en ce qu'Il leur commande, et faisant strictement ce qu’on leur ordonne." ( Sourate    At-Tahrîm, v.6)

 

Abû Hurayrah رضي الله عنه rapporte que le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit :

 

"Chaque enfant nait jouissant d’une saine    nature (Fitrah), et ce sont ses parents qui en font un juif un chrétien ou un adorateur du feu.

C'est comme le bétail qui donne du bétail de la même espèce : leurs petits naissent-ils    mutilés ?"

(al bukhari et muslim)

 

Cet enfant jouissant d'une saine nature accepte le bien comme le mal, c'est pour cela qu’il a besoin d’être instruit,    éduqué, aiguillé de manière correcte vers la voie de l’islam.

 

Il faut faire attention à ne pas laisser cette pauvre petite fille vivre comme du bétail, ne connaissant rien de la    religion et de la vie, et il y a dans le Prophète un excellent exemple.

 

Abd Allah ibn 'Amr رضي الله عنه rapporte que le Messager d'Allah صلى الله عليه وسلم a dit:

 

" Ordonnez à vos enfants de prier à l'âge de sept ans et corrigez-les s’ils ne    l’accomplissent pas à l’âge de dix ans, et séparez-les dans les lits."

(abu dawud, hadith hassan)

 

Ce hadith donne des indications importantes pour l’éducation des enfants. Ainsi, on en déduit que la méthode d’éducation    évolue avec l’âge et que l’on ne doit imposer à chaque enfant que ce qu’il peut supporter. [...]

 

Umar ibn Abî Salamah رضي الله عنه rapporte :

 

" ]’étais une enfant vivant dans le giron du Prophèteصلى الله عليه وسلم et [lorsque nous mangions] ma main se baladait partout dans le plat,    le Prophèteصلى الله عليه وسلم me dit alors : « O mon enfant !    Prononce le nom d'Allah, mange de la main droite et mange ce qu'il y a devant toi. »

Et je n’ai cessé d’agir ainsi par la suite."

(al bukhari et muslim)

 

Hudhayfah رضي الله عنه rapporte :

« Lorsque nous mangions avec le Prophète صلى الله عليه وسلم, personne ne commençait avant lui.

Une fois, alors que nous mangions, une petite fille vint, comme possédée, en voulant    mettre sa main dans le plat, le Prophète صلى الله عليه وسلم l'en empêcha en saisissant sa    main.

Vint alors un bédouin, comme possédé, le Prophète صلى الله عليه وسلم lui prit aussi la main, puis il dit :

« Le Diable profite du repas si on ne prononce pas le nom d’Allah sur celui-ci, il a    fait venir cette petite fille et ce bédoin pour profiter du repas, c’est pourquoi j’ai saisi leur main.

Par Celui qui détient mon âme dans Sa Main, la main du diable était dans ces mains.    »

(muslim)

 

Il ne faut donc pas négliger le droit de l’enfant et son instruction, tout comme il ne faut pas exagérer et    être trop dur (traduction rapprochée) :

 

"O Gens du Livre ! N ’exagérez pas dans votre religion, et ne dites sur Allah que la    vérité." (sourate An Nisa verset 171)

 

De même, l’adulte ne peut se passer d’apprentissage, comme le rapporte Alî رضي الله عنه :

"Fâtimah رضي الله    عنها s'est plainte de la fatigue causée par le travail du grain, et elle entendit qu’on avait donné au Prophète صلى الله عليه وسلم un servant, c'est pourquoi elle alla le voir pour qu'il lui en accorde un, mais il ne répondit pas à sa    demande.

Elle se rendit donc chez A’ishah رضي الله    عنها qui rapporta cela au Prophète صلى الله عليه وسلم qui vint    nous voir alors que nous étions couchés.

Nous nous apprêtions à nous lever mais il    صلى الله عليه وسلم nous dit: " Restez ou vous êtes." au point que je sente la fraicheur de ses pieds sur ma    poitrine, il صلى الله عليه وسلم dit : « Vous indiquerais-je ce qui est meilleur que ce que vous m’avez demandé ? Lorsque vous allez vous coucher,    dîtes

Allâhu Akbar trente-quatre fois,

Al-hamdulillâh trente—trois fois

et Subhânallâh trente-trois fois.

Cela est meilleur que ce que vous m’avez demandé."

(al bukhari et muslim)

 

Remarque :

 

Parfois l'enfant fait une bêtise, c'est pourquoi la mère le gronde pour l'éduquer, c'est alors que le père    reproche cela à la mère devant l’enfant, et cela se répercute sur l'enfant, et la mère perd de l'importance à ses yeux.

 

Il faut donc prendre garde à ne pas faire de reproches à la mère devant son enfant.

 

Bien au contraire il faut être doux dans ses paroles, lui montrer du respect et rester calme.

 

On peut lui dire par exemple :

 

"Si tu penses qu'il ne faut pas le frapper pour cette fois,    qu'Allah lui pardonne.

Et pardonne-lui toi aussi pour cette fois.

S'il recommence, punis-le et j'en ferai de même."

 

Tiré du livre "Les droits des croyantes" de Umm Salamah

Umm Salamah Bint 'Alî Al-'Abbâsî



05/06/2012
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 14 autres membres